1-
veiller à
l'ensemble de la préparation
:
notamment des règles du jeu simples et des tâches bien définies entre
les animateurs, ensuite s’assurer que tout le matériel est fin prêt.
2-
Sensibiliser
les participants :
affiche,
message radiophonique, sketches, invitations personnelles…, Tous les
moyens sont bons pour donner envie d'entrer dans le jeu.
3-
Expliquer
clairement le jeu :
au départ, le
but et le déroulement du jeu sont clairement expliqués. Les participants
ont la possibilité de poser des questions. S'assurer que tout le monde
ait bien compris.
4-
Construire
des équipes équilibrées :
tenir compte
des affinités, des aptitudes physiques et intellectuelles. On peut
laisser le choix aux joueurs ou à l'animateur.
5-
Exploiter le
thème jusqu'au bout :
toujours se
référer au thème du jeu, de la préparation jusqu'à la conclusion. Ceci
vaut pour l'animateur au même titre que pour les joueurs. On peut
s’aider d'un accessoire (perruque, chapeau, étoffe…).
6-
Donner envie
de jouer :
pour faire
jouer les autres, l'animateur doit avoir lui-même envie de jouer. C'est
lui le « moteur de l'ambiance ».
7-
Adapter le
rythme de jeu :
la durée et
le rythme du jeu tienne compte de l'âge des participants, du moment de
la journée et du lieu.
8-
Assurer la
responsabilité de l'animation :
l'animateur
veille à tout : le respect des règles, le maintien d'une ambiance
positive, la sécurité, l'intégration de tous les participants, en
particulier les enfants handicapés…
9-
Animer la
présentation des résultats :
c'est un
moment à part entière qui doit rester dans le thème. Conserver une
ambiance positive en évitant d'être trop sélectif.
10-
Faire le
bilan :
analyser le
déroulement, mesurer l'écart entre ce qui était recherché et ce qui
s'est passé. Chaque expérience permet ainsi de progresser. |
1-
Choisir comme
imaginaire un thème parfaitement déprimant comme l'alcool, la drogue, la
mort, le suicide…
2-
Improviser le
jeu à la dernière minute, de préférence sans aucun matériel.
3-
Lancer pour
la 10 000e fois la même activité, sans imaginaire, ni aucune variante.
4-
Ne pas se
soucier du terrain, de l'air, et encore moins de la météo.
5-
Ne pas
adapter le jeu à la condition physique des participants.
6-
Faire une
activité qui plaît aux animateurs, mais pas forcément aux jeunes.
7-
Reproduire un
jeu qui était à la mode il y a 20 ans.
8-
Mettre face à
face les animateurs et les jeunes : une des parties finit souvent par se
prendre au jeu.
9-
Mettre en
scène un conflit déjà existant dans le groupe.
10-
Attacher,
tatouer, faire peur, humilier, réveiller en pleine nuit, kidnappé. Même
et surtout pour rire…
11-
Faire un jeu
« super bourrin » pour terminer la journée (aux urgences de l'hôpital).
12-
Chambrer les
« nuls qui ont perdu » lors de la proclamation des résultats.
13-
Poursuivre le
jeu même s'il est flagrant qu'il ennuie tout le monde.
14-
Prévoir une
équipe d'organisation colossale, aussi nombreuse que les joueurs.
15-
Changer les
règles toutes les 5 minutes.
16-
Ne pas
changer les règles alors qu'on s'aperçoit qu’elles ne fonctionnent pas.
17-
Définir des
règles trop compliquées : 30 minutes d'explication pour 10 minutes de
jeu.
18-
Éliminer
définitivement les participants dans les jeux, sans leur donner la
possibilité de récupérer une vie.
19-
Laisser dans
le vague le soin du matériel, les déguisements, les horaires.
20-
Se montrer
soi-même complètement indifférent à la réussite du jeu. |